Mise à jour le 1er juin 2000 Mise à jour le 15 décembre 2005 - Version 2.0
La Lune recèle un certain nombre de petits cratères (diamètre inférieur à 300 m) dont la forme est incompatible avec la théorie de formation impactique des cratères simples. Ce fait est relevé par les spécialistes de la lune qui reconnaissant que certaines formations sont inexplicables ("The Once and future Moon" de Paul D.Spudis). On a vu que la Lune était riche en phénomènes lumineux qui pourraient être le signe de travaux de génie civil. Or, si une exploitation minière s'est poursuivi sur la lune des siècles durant, on devrait trouver des traces de celle-ci (déblais, formes géologiques aberrantes, etc). L'aberration d'une forme géologique est d'autant plus facile à déterminer sur la Lune que les évènements qui y modèlent le paysage sont peu nombreux. -
Ces cratères ont des similarités: Ce n'est pas du à la jonction de deux cratères concentriques ou non (le cas existe mais il est parfaitement identifiable). RAPPEL DE LA THEORIE DE FORMATION DES CRATERES LUNAIRES La forme d'un cratère correspondant à une forme standard, surtout pour les petits cratères (taille inférieure à 15 km) . Ce qui conduit à penser que tout monticule, ou objet présent dans un petit cratère est fortement suspect, étant donné la rusticité des formes d'érosion sur la lune et l'absence d'activité volcanique (la présence d'un pic central pour les cratères de grandes dimensions est normale). Un cratère résulte du choc très violent d'une météorite. La vaporisation explosive de celui-ci creuse une excavation en forme de bol (travaux de A.C. Gifford - New meteoric hypothesis, 1924 ). Ce n'est pas l'énergie mécanique du météorite qui creuse l'excavation, mais l'explosion provoquée par la transformation de l'énergie cinétique du météorite en chaleur (15 mégatonnes pour le Meteor Crater aux Etats Unis), ce qui explique la forme de bol du cratère indépendante de l'angle d'arrivée du bolide.
Si le cratère a un diamètre supérieur à 30-40 km, il peut présenter un pic central. L'existence
dans un cratère de petit diamètre de monticules est inexplicable,
vu l'absence d'érosions pluviale ou éolienne ou d'activité
volcanique à cette échelle. -
On pourrait penser aussi à un glissement de terrain, de la crête
du cratère vers le centre de celui-ci.
Il faut bien se convaincre que des formes de paysage naturelles et normales sur Terre ne le sont pas sur la Lune du fait de l'absence d'érosion pluviale ou éolienne.
UN CHANTIER PRES DU CRATERE KUNOSVSKI Il existe près du cratère Kunovski une collection de cratères anormaux, dont voici les images Cette région (région du cratère Kepler) a fait l'objet de 5 phénomènes lumineux transitoires, dont un situé près du cratère Kunovski en 1964. Les
anormalités sont de deux types: Les
seules méthodes pour créer un monticule à cette échelle
sur le lune sont:
UN
CRATERE DE FORME VOISINE
Ces deux cratères comportent le même talus de déblais intermédaire (à l'intérieur du cratère en bas à droite) que l'on reconnait malgré la différence d'illumination. La forme de la limite haute est identique.
© JP REGNIER Tous droits réservés - Avril 1998 |